DANS LE CERCUEIL DE LEURS ILLUSIONS !!!
Ceux qui se sentent fiers d'être citoyens, alors qu'on fait d'eux -à l'élysée, à Bruxelles, a Rabat, en Afrique du sud et partout ailleurs- des dupes ;
Ceux qui ont besoin, pour se croire heureux, de se sentir représentés, maquignonnés, bernés par des charlatans au nom du "peuple souverain" ;
Ceux qui sont impatients d'échanger un bulletin de vote contre un moi de vacances ou une misérable aumone de type RMI/RSA ;
Ceux qui, pieusement, héroiquement, seront prêts a mourir pour l'Amérique, l'Angleterre, la Chine ou la France, lorsqu'arrivera le jour où chambres des représentants qu'ils auront nommés votera "LA GUERRE" ;
Ceux qui croient encore en SARKOZY, LE PEN, ROYAL, AUBRY, BAYROU, VILLIERS, STRAUSS-KAHN, BESANCENOT, VOYNET, MAMERE, COHN-BENDIT etc...Ces hommes et femmes "de tête", ces "sauveurs suprêmes" à la mords-moi-l'noeud;
Ceux qui, sans croire au père noël (parait-il) veulent tout de même, à coups de bulletins de vote, "barrer la route" à la Réaction, au fascisme, au stalisme, au cléricalisme ou a l'étatisme, s'imaginant que l'urne électoral vaut quelque chose contre les bénitiers, les coffres fort, les tanks ..etc etc ;
Ceux qui ont besoin d'un crédo pour penser et d'un partie pour agir, Ceux qui, tremblant devant leurs propre ombre jsque dans le secret des isoloirs, ont peurs d'être eux même, de ne pas "bien voter" (si on peux dire qu'on peux "bien" voter...)
Ceux qu'épouvante l'idée de vivre sans être -du berceau à la tombe- matriculés et mobilisé, endoctrinés et encarsenés, formatés et conditionnés par les soins d'un gouvernement paternel. Bref les infantiles, les demeurés, les gens auxquels un flic sert de papa;
Ceux qui ne peuvent aimer, qui ne peuvent s'unir sans déclarations officielle, sans autorisation, allocations etc ;
Et ceux qui n'ont jamais compris que l'Etat ne leur donne jamais que ce qu'il leurs a pris au préalable en matière de bien-être et de sécurité;
TOUS CEUX là ne songent jamais au fait que la société des hommes est en fait fondée sur la réciprocité des paroles données entre humains, et non pas sur l'obéissance à un million d'article de loi, de décrets, de réglements et de directives misnistérielles ddont chacun pris a part, se fout éperdumment, et dont un grand nombre, un TRES nombres, n'y entrave que couix...y compris ceux qui les rédigents !
Ceux là trouve naturel, en glisant un bulletins dans l'urne,de donner pour des années une procuration général, non pas même à un "fondé de pouvoir" choisit par eux, mais au député soutenu par leurs pires adversaires, si ces adversaires obtiennent la majorité...Accoutumés à être roulés, pillés, conformés, censurés, endormis, exploités par leurs "représentants" depuis que le monde est monde, ils en redemandent.Jetés par l'arbitraire gouvernemental dans le grand cirque d'un scrutin bâclé et truqué, ils s'empressent malgré tout d'y participer. Ils n'attendraient même pas pour cela que les dirigeants fassent légalement de cet acte d'essence autoritaire qu'est le vote non plus un "droit civique", mais une contrainte, un devoir imposé sous peine d'amende, une corvée aussi obligatoire que la conscription militaire en son temps, ou que l'impôt qu'ils rechignent-comme tout un chacun- à verser.Bien au contraire, ils brûlent du désir d'abdiquer. Tout comme ceux qui, par manqe d'intérêt pour la chose, par pure fainéantise intellectuelle, par simple fumisterie ou par choix personnel, se désintéressent complètmeent de la politique mais votent quand même, ne voyant là qu'une sorte de jeu pleins de "suspense", comme un enfant qui ouvrirait une pochette surprise en espérant cette fois y trouver une pute de luxe...
Sans nul doute, s'abstenir de voter ne saurait suffire à placer l'homme au dessus de la loi du nombre, qui en fait une bête de troupeau. Encore doit-il aussi, de sont propre chef, s'instruire, se former, affronter ses responsabilités, résister à ses opresseurs, nouer des contrats avec d'autre individus et se montrer capable de les respecter. Et cela partout: chez lui, sur son lieux de travail, dans la rue..etc...
Mais tout au moins, en ne votant pas, il marque son refus radical de collaborer au système qui l'emprisonne, son refus radical de contribuer à la périnnité de ce système autoritaire et hiérarchique que les masses que les masses perpétuent en dépit du bon sens le plus élémentaire.
La solidarité des non-votants conscients est nécessaires, pour semer partout les germes d'une société plus juste et non liberticide, riche de l'immence diversité des tempéraments, des compétence réelle et des vocations des individus qui la composent.Nous devons, jeunes et moins jeunes, tous ensemble déployer nos efforts pour intensifier l'idées anarchiste, et multiplier les contact.Dès à présent, prônons sans relache l'objection de conscience tous azimuts, permanent et généralisée.Pour une abstentions active systématique.
Vive l'anarchie !
No pasaran !
Message de l'A.O.A., avec légére modification.
Ceux qui se sentent fiers d'être citoyens, alors qu'on fait d'eux -à l'élysée, à Bruxelles, a Rabat, en Afrique du sud et partout ailleurs- des dupes ;
Ceux qui ont besoin, pour se croire heureux, de se sentir représentés, maquignonnés, bernés par des charlatans au nom du "peuple souverain" ;
Ceux qui sont impatients d'échanger un bulletin de vote contre un moi de vacances ou une misérable aumone de type RMI/RSA ;
Ceux qui, pieusement, héroiquement, seront prêts a mourir pour l'Amérique, l'Angleterre, la Chine ou la France, lorsqu'arrivera le jour où chambres des représentants qu'ils auront nommés votera "LA GUERRE" ;
Ceux qui croient encore en SARKOZY, LE PEN, ROYAL, AUBRY, BAYROU, VILLIERS, STRAUSS-KAHN, BESANCENOT, VOYNET, MAMERE, COHN-BENDIT etc...Ces hommes et femmes "de tête", ces "sauveurs suprêmes" à la mords-moi-l'noeud;
Ceux qui, sans croire au père noël (parait-il) veulent tout de même, à coups de bulletins de vote, "barrer la route" à la Réaction, au fascisme, au stalisme, au cléricalisme ou a l'étatisme, s'imaginant que l'urne électoral vaut quelque chose contre les bénitiers, les coffres fort, les tanks ..etc etc ;
Ceux qui ont besoin d'un crédo pour penser et d'un partie pour agir, Ceux qui, tremblant devant leurs propre ombre jsque dans le secret des isoloirs, ont peurs d'être eux même, de ne pas "bien voter" (si on peux dire qu'on peux "bien" voter...)
Ceux qu'épouvante l'idée de vivre sans être -du berceau à la tombe- matriculés et mobilisé, endoctrinés et encarsenés, formatés et conditionnés par les soins d'un gouvernement paternel. Bref les infantiles, les demeurés, les gens auxquels un flic sert de papa;
Ceux qui ne peuvent aimer, qui ne peuvent s'unir sans déclarations officielle, sans autorisation, allocations etc ;
Et ceux qui n'ont jamais compris que l'Etat ne leur donne jamais que ce qu'il leurs a pris au préalable en matière de bien-être et de sécurité;
TOUS CEUX là ne songent jamais au fait que la société des hommes est en fait fondée sur la réciprocité des paroles données entre humains, et non pas sur l'obéissance à un million d'article de loi, de décrets, de réglements et de directives misnistérielles ddont chacun pris a part, se fout éperdumment, et dont un grand nombre, un TRES nombres, n'y entrave que couix...y compris ceux qui les rédigents !
Ceux là trouve naturel, en glisant un bulletins dans l'urne,de donner pour des années une procuration général, non pas même à un "fondé de pouvoir" choisit par eux, mais au député soutenu par leurs pires adversaires, si ces adversaires obtiennent la majorité...Accoutumés à être roulés, pillés, conformés, censurés, endormis, exploités par leurs "représentants" depuis que le monde est monde, ils en redemandent.Jetés par l'arbitraire gouvernemental dans le grand cirque d'un scrutin bâclé et truqué, ils s'empressent malgré tout d'y participer. Ils n'attendraient même pas pour cela que les dirigeants fassent légalement de cet acte d'essence autoritaire qu'est le vote non plus un "droit civique", mais une contrainte, un devoir imposé sous peine d'amende, une corvée aussi obligatoire que la conscription militaire en son temps, ou que l'impôt qu'ils rechignent-comme tout un chacun- à verser.Bien au contraire, ils brûlent du désir d'abdiquer. Tout comme ceux qui, par manqe d'intérêt pour la chose, par pure fainéantise intellectuelle, par simple fumisterie ou par choix personnel, se désintéressent complètmeent de la politique mais votent quand même, ne voyant là qu'une sorte de jeu pleins de "suspense", comme un enfant qui ouvrirait une pochette surprise en espérant cette fois y trouver une pute de luxe...
Sans nul doute, s'abstenir de voter ne saurait suffire à placer l'homme au dessus de la loi du nombre, qui en fait une bête de troupeau. Encore doit-il aussi, de sont propre chef, s'instruire, se former, affronter ses responsabilités, résister à ses opresseurs, nouer des contrats avec d'autre individus et se montrer capable de les respecter. Et cela partout: chez lui, sur son lieux de travail, dans la rue..etc...
Mais tout au moins, en ne votant pas, il marque son refus radical de collaborer au système qui l'emprisonne, son refus radical de contribuer à la périnnité de ce système autoritaire et hiérarchique que les masses que les masses perpétuent en dépit du bon sens le plus élémentaire.
La solidarité des non-votants conscients est nécessaires, pour semer partout les germes d'une société plus juste et non liberticide, riche de l'immence diversité des tempéraments, des compétence réelle et des vocations des individus qui la composent.Nous devons, jeunes et moins jeunes, tous ensemble déployer nos efforts pour intensifier l'idées anarchiste, et multiplier les contact.Dès à présent, prônons sans relache l'objection de conscience tous azimuts, permanent et généralisée.Pour une abstentions active systématique.
Vive l'anarchie !
No pasaran !
Message de l'A.O.A., avec légére modification.
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